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Nos revendications syndicales pour les TPE-PME

Toutes les revendications de la CPME vont dans le même sens : sécuriser l'environnement des petites entreprises en leur réservant un traitement spécifique afin qu'elles jouent pleinement leur rôle de levier de croissance et de l'emploi

Militer pour le patronat réel : statut et spécificités des TPE-PME

Réduire les délais de paiement et les abus entre donneurs d’ordres et sous-traitants

Réformer la fiscalité : baisser les prélèvements et les charges patronales

Faire de l’apprentissage et la formation des leviers de recrutement et de développement

Innover en matière de financement

Améliorer l’accès des PME aux marchés publics

Simplifier le Code du Travail et le dialogue social

Un an après l’élection d’Emmanuel Macron, un score de 28% pour la CPME

En mai 2017, la CPME publiait, à l’intention des candidats à l’élection présidentielle, un Livre blanc de 89 propositions pour créer un environnement favorable aux entreprises et à ceux qui entreprennent. Ces propositions ne se voulaient pas catégorielles mais rejoignaient l’intérêt général.

Bilan des 89 propositions de la CPME

Un an après l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République française, qu’il s’agisse de fiscalité, du Code du travail, d’innovation ou de compétitivité, 28 % de ces propositions (25 sur 89) ont été adoptées ou sont en cours de discussion.

Mais lever les barrières n’a pas de sens si dans le même temps les nouveaux obstacles se multiplient. Quoiqu’il en soit, et même si beaucoup reste à faire, en particulier en diminuant le poids de la sphère publique, une première étape a été franchie.

La Confédération des PME, au service des 150 000 artisans, commerçants, industriels, prestataires de services et professionnels libéraux qui lui font confiance, démontre ainsi sa capacité à être le véritable porte-parole de ces petites entreprises, riches de leur dimension humaine, qui irriguent le tissu économique et social, à travers tout le territoire.

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